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 "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?"

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Lexie B. Hamertown

Lexie B. Hamertown


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DATE D'INSCRIPTION : 25/05/2010
OCCUPATION : Le sang ♥ C'est une occupation à temps complet, j'vous assure.

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MessageSujet: "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?"   "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" EmptyMar 25 Mai - 19:40


I'm
Lexie


    TROUBLANTE
    "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" 33jrb6a
    ©️ Elyxir


    ♦️ Nom: Hamertown
    ♦️ Prénoms: Lexie Béatrice
    ♦️ Âge: 18 ans officielement. Officieusement, c'est une tout autre histoire.
    ♦️ Race: Vampire Babe !
    ♦️ Régime alimentaire:
    Du sang, toujours du sang. L'hémoglobine HUMAINE est mon seul ... comment dire ? Ma seule source de plaisir.
    ♦️ Situation financière: Bonne
    ♦️ Bilan de santé: Aux dernières nouvelles, j'me sens bien !
    ♦️ Allergies: A la charité
    ♦️ Groupe sanguin: /
    ♦️ Pêché capital: Luxure
    ♦️ Une phobie: Quand on est mort, rien ne vous fait plus peur. A part le feu.
    ♦️ Un talent particulier: Je le regrette.
    ♦️ Citation favorite : « On ne lave pas du sang avec du sang mais avec de l'eau. »; Merci Will, c'était très lucide de ta part.
    ♦️ Groupe : "Vampires"


EVERYONE MUST BE THE VICTIM OF HIS LIFE

    CE POURQUOI JE SUIS UNE PERSONNE UNIQUE: Il paraît que je suis schyzophrène sur les bords. Ou du moins que je souffre d'un bon dédoublement de la personnalité. Mais c'est faux. Sur mon jugement qui est le bon, je me proclame officiellement saine d'esprit et de corps. Garce, peut-être, mais je n'en garde pas moins un certain humour parfois glacial qui plaît. Ou pas. Disons qu'il n'est pas lourd, mais juste subtil. Il faut savoir percevoir la touche fine que j'y mets. Du moins faut avoir le cerveau suffisant pour.
    J'ai un caractère de chien, très changeant. Comme la lune et le soleil, le Yin et le Yang. Je deviens poétique, ma parole ! En devellopant sans immiter Rimbaud, ca donne du : En clair, si tu me cherches, je te refait le portrait. T'es chic avec moi, j'en fais autant. Tu l'es pas, bah tant pis pour toi. Manipulatrice, je sais jouer des mains quand il le faut. J'ai la manipulation dans la peau, qu'es ce que j'y peux ? La méfiance est aussi un truc que j'aime chez moi. La modestie aussi je crois. Le truc, c'est qu'il ne faut jamais me juger avant de me connaître. J'ai longtemps était une gentille petite fille timide, mais c'est fini tout ça. Refouler le côté sombre, c'est fini. Il est mieux celui là, plus défini. Je suis unique au moins et personne ne pourra dire le contraire.
    Ok, je suis K.O. Je sais être douce, quand il le faut. Ou pas. Disons que mon humanité fait un écrat parfois, ce qui me permet d'être compatissante au sort de certaine personne. Voilà. Ca, c'est le truc que je n'avouerais jamais en public. Ca me fait honte d'avoir de l'humanité. Mais ça par contre, j'peux pas le ravaler.



    MON PARCOURS JUSQU'À MAINTENANT:

    "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" 100131093337719808


    I was alive ...


    Petite, j'ai toujours été timide et distante des autres. Enfermée dans mon petit monde plein de rose et de livres. J'aimais lire, c'était une obsession. Je passais des heures enfermée à la bibliothéque avec mon père, bibliothécaire de profession. Cette bibliothéque était la propriété de nos ancêtres et se trouvait dans la demeure familiale, mon géniteur an avait hérité car qui mieux que lui pouvait s'en occuper pareillement ? Personne. De plus, nous étions les seuls héritiés de mon aïeul Le-Riche. Bingo !
    Nous étions en 1892 et j'avais de belles années devant moi.
    Ma famille a toujours été appréciée, respectée. Je n'avais pas dix ans quand j'ai compris à quel point il m'était facile de voir mes désirs se réaliser. Fille unique, mes parents vouaient à mes moindres souhaits une attention qui me dépasserait bientôt. Mais j'avais bien l'intention d'en profiter, ce que je fis pendant de nombreuses années. Enfant choyée, je faisais ce qu'on me disait si en retour j'avais ce que je voulais. Donnant-donnant, comme on dit.

    C'est l'année de mes dix ans (1894) que tout parti en une vraie masquerade. Et encore. En Louisiane, une espèce de révolution* éclata contre le gouvernement et les privliégiés. Nous en faisions partis. Après la mairie, les écoles et le seul Hotel de la ville, ce fut au tour de notre demeure d'être prise sous les flammes. Je m'en souviens très bien, j'étais encore dans la bibliothéque quand c'est arrivé. La fumée a envahie mes poumons, je ne pouvais presque plus respirer. Ma vue était brouillée, les étagères se vidaient peu à peu, les flammes léchaient les dernières pages de mes livres préfèrés. Et puis tout d'un coup, Bam !, le vide total. Comme si on m'avait fourré un trou noir dans la tête. Même aujourd'hui, je ne m'en rapelle plus. Je me souviens juste des cris de ma mère, elle hurlait qu'on aille chercher de l'aide et ma reprise de conscience rapide juste pour découvrir nos biens s'éffondrés comme si le vent avait soufflé dessus pour qu'il n'en reste plus qu'un tas de cendres. Et parmis elles, mon père, introuvable dans les fondations en ruines. Il était tout simplement parti.
    Ma mère et moi avons vécu chez mes grands-parents maternels, qui vivaient dans une rue bourgeoise bien au centre de la ville. Je n'ai plus pris de cours à la maison mais suis allée dans un collège pour "Ladies" comme ils appelaient ça. J'y étais bien. Enfin pas mal du moins, j'avais encore une vie ... joyeuse. Mon père me manquait, mais pas autant que je l'aurais pensé.
    Et puis j'ai changé. Mentalement j'vous parle. Je suis devenue aussi éxhubérante que j'étais renfermée avant. C'est survenue du jour au lendemain, sans prévenir. Nous venions d'entrer dans le vingtième siècle, dans deux ans j'atteignais la majorité.

    Ma mère et moi avons déménagé, il circulait d'étrange rumeur sur le fait que des vampires traînaient dans le coin, mais c'étaient de vieilles légendes urbaines pour faire fuir les touristes. Les gens étaient tellement avares qu'ils voulaient garder leurs foutues richesses pour eux. Nous avons de nouveau établies notre logement dans une charmante demeure. D'après certains jeunes que je croisais, cette maison était "hantée". Bouh ! J'avais trop peur, effrayant.
    Chaque fois que j'allais en ville, on me dévisageait, on me faisait la cour. C'était flatteur, mais j'étais jeune. Je ne me souciais pas le moins du monde de fonder une famille ou ce genre de choses. Et puis, la vie est trop courte pour se marier et rester enchaîner à la même personne. Ma mère connaissait mon opinion dessus, ça ne l'a pas empêché de me marier de force à un riche avocat de quarante printemps.
    C'est le jour de mes dix-sept ans que c'est arrivé. Après de nombreuses tentatives déchus pour me rendre malade, ce jour fatidique est arrivé.
    "C'est juste l'histoire d'une heure ou deux. Et tu verras, ce soir tu auras oublier tout ça." Etaient les bonnes paroles de mes aïeuls pour me remonter le moral.
    Bien sûr, pour eux je n'étais qu'une traînée dévergondée, coucher était le seul moyen que j'avais pour me satisfaire de cette vie. Savaient-ils que j'étais encore vierge malgré le fait que je sois farouche ? Non, sûrement pas.
    Je me suis marier à un homme qui m'était inconnu, je me suis installée dans une maison que je n'aimais pas et ai fait l'amour avec "mon mari" pendant un an. J'aurais pu partir en dépression nerveuse; mais non. Je me suis resaisie. Je savais que tout cela ne serait pas éternel, d'une façon ou d'une autre, je me vengerais. De Klein B. Reign, mon mari, et de ma famille. Toute, ma famille.

    *[fait non historique]



    But Everything changes


    "Que fais-tu, ici, seule ?"
    Je nettoie, ce que tu dois pas faire souvent, c*$!?%d !
    "Rien, mon amour je ... cherche le livre que ma mère m'a envoyé."
    C'était là la seule chose qu'il me restait après un an de solitude, un an de mariage. Le mensonge, la haine et des bouquins. Ma nouvelle vie me pesait, j'avais dix-huit ans. En pleine santé, la grippe espagnole ne m'avait pas touché, mais c'était évident à rester cloîtrer dans un vieux manoir digne de Dracula ou je ne sais quel autre conte pour gosse. J'avais touché le fond. Ma seule distraction était, désormais, la lecture. Comme lorsque j'étais gamine. Et encore, je me lassais vite désormais. Je crevais d'ennuie et cet espèce d'avocat de mes deux, désormais au chômage, ne faisait rien pour me rendre la vie plus facile. C'était tout le contraire. Quand l'envie lui prenait, on faisait l'amour -je rectifis. Faire l'amour signifie le faire avec la personne qu'on aime, hors, c'est pas le cas. Pas aujourd'hui. Pas lui.
    Je me souviens de ce jour de Juillet 1902. J'étais sortie prendre l'air, je m'étais échappée par la porte de derrière, celle des cuisines, et j'avais été au coeur de la ville. Là, j'avais été étonnée de la population. Faible, gémissante. Je me souviens du dégoût que j'avais éprouvé à leur égard, c'était immonde. La maladie les avait bien touché. Je ne m'étais alors aucunement souciée de ma famille, je m'en fichais. J'avançais, des gens à peu près normaux, du moins stables sur leurs deux jambes, parlaient de malédiction. Quelle malédiction ?
    "Ils sont revenus. Je l'avais prédis ! Toute cette maladie, c'est leur faute"
    Leur faute ? Qui ? Les espagnoles ? Bah ... j'étais pas calée sur le plan médical, j'en avais aucune idée !
    "Les vampires sont de retour ma Belle, tu devrais partir au plus vite."
    Je me suis retournée. Un homme se tenait devant moi, les mains dans les poches. Il avait la classe du Gentleman de nos jours. Droit, souriant, poli. Rien à re-dire. Il avait même cet air espiègle des jeunes gens. Et mignon, ai-je oublier de le dire ?
    "Des vampires ? On ne voit ça que dans les romans Sir. Et encore, chez les auteurs qui ont assez d'imagination pour qu'on les prenne pour fou."
    Il m'a souri, je lui ai rétourné. Et c'est là que tout a commencer. Il se nommait Matthew, je ne savais rien d'autre de lui à part qu'il débraquait fraîchement d'Angleterre -comme les miens à l'origine- et qu'il était installé à l'hotel le plus luxueux de la ville, le Carlton. Nous nous sommes longtemps cotoyés. Je sortais de mon ennuie morne pour goûter aux joies de vivre, les vraies. Je veux dire, à côté du manoir miteux duquel j'étais la maîtresse de maison, découvrir la ville avec Matthew était complétement plus emballant. Et puis c'est arrivé. J'ai rendu mon "mari" cocu. Il fallait que ca arrive, c'est arrivé, ce n'était qu'une question de temps. Les jours suivants, mon moral remontait. Personne ne se doutait de rien, nos gestes tendres étaient minimes et imperceptibles. Je vivais une double vi en quelque sorte, comme Cendrillon. Le jour, j'étais dévouée à Matthew, et la nuit à ... Klein, bien que l'idée ne m'enchante pas.
    Comme tous bonheur, le mien s'est effondré. Klein a tout découvert. Il n'a pas demandé l'annulation de notre mariage mais a tout de même fait sa petite affaire. A savoir me traîter de catain sur la place publique.
    Si je devais avoir un seul et unique horrible souvenir humain, il serait le suivant :
    J'étais dans la salle à manger, je recousais une de mes vestes décousut par mon amant il y a peu, mais c'était un détail que j'avais omis à mon mari, celui reconnu par Dieu et tout le blabla. D'ailleurs, il entra en trombe, posa les mains sur la table et me regarda fixement. Je ne levais pas les yeux de mon ouvrage et attendis. L'orage allait tombé, seulement, je ne savais pas que j'allais être foudroyée par la même occasion.
    "Depuis quand tu connais ce type ?"
    "Longtemps."
    Il ne répondit pas et s'éloigna de la table. Je relevais la tête face à son silence inhabituel. L'une de ses mains était dans son dos, l'autre dans sa poche. Je posais la veste sur la table et me levais, les mains sur les hanches. Alors quoi ? Il savait non ? Et depuis presque une semaine, c'était pas l'Enfer non plus. J'lui avais proposé le divorce, il me l'avait refusé, donc OK, je continuais. Mais le seul truc que j'avais pas vu c'était le revolver dans sa main. Ah ... en effet, j'lavais pas vu, mais maintenant, je le voyais. Bien braqué sur moi. Je levais les mains et reculais par réflexe. Il rigolait là, hein ? D'après ce que je compris à sa tyrade -le sang battait à mes temps tellement fort que je ne comprenais rien-, je l'avais humilié et je devais le payer. Je reculais encore d'un pas. Je ne pouvais essayer de le calmer, ce qu'il disait était sensé et vu la colère qui lui montait, mieux valait la fermer.
    Une chaleur me traversa l'omoplate et je compris ma douleur que quand je fus clouée au sol. Une balle "perdue", il avait voulu me le mettre en plein coeur, j'en étais sûre. Je voyais le flou autour de moi, nan en faites je voyais rien à part des vagues. Des vagues de douleur. J'entendis une chose : un cri. Le mien, de ce que j'en déduis. Ou pas. Un autre, plus fort, masculin se fit entendre, c'était la voie de Klein. Et officiellement, l'obscurité m'embarqua. Juste avant que mes yeux se ferment, une couleur écarlate envahie ma vue. Du sang.

YOU BEHIND THE SCREEN, WE WANT KNOW

    Tu as certainement un petit prénom ou un pseudo ? : Liv'
    Combien de fois as-tu fêté le jour de ton anniverssaire ? : Seize ans de cavalcades et de misères pour mes géniteurs.
    Où es-tu situé sur la planète Terre ? : Je n'y suis pas, difficile alors de me situer !
    Une fille ? Un garçons ? Tu es .. ? : Hermaphrodite ?
    Ta fréquence par semaine sur le forum ? : { 4/7 }
    Où as-tu connu ALLENTOWN ? : Une invitation dans ma boîte mail, la classe !
    Mais quel beauté ce retrouve sur ton avatar ? : Kaya Scodelario
    & le code du règlement, tu l'as trouvé ? : Ok'


© ALLENTOWN . Made by Cadence


Dernière édition par Lexie B. Hamertown le Mer 26 Mai - 18:30, édité 18 fois
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Cheyenne Z. Wilson

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MessageSujet: Re: "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?"   "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" EmptyMar 25 Mai - 20:31

    Bienvenue.
    Oui Kaya <3.
    "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" 2n24utu
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Lexie B. Hamertown

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MessageSujet: Re: "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?"   "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" EmptyMar 25 Mai - 20:44

Merci !
Je crois que le choix de mon avatar est bon alors Wink
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Cadence S. Wilson

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MessageSujet: Re: "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?"   "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" EmptyMar 25 Mai - 22:08

    Biiienvenue I love you
    Wiie Kaya ^^
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Sawyer K. Duchesne

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MessageSujet: Re: "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?"   "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" EmptyMer 26 Mai - 8:41

KAYA I love you
Bienvenue ! =)
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Izhobel J. Harrison

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MessageSujet: Re: "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?"   "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" EmptyMer 26 Mai - 13:10

Bienvenuue ♥️
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Lexie B. Hamertown

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MessageSujet: Re: "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?"   "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" EmptyMer 26 Mai - 15:25

    Oh Wahou ! Merci à toutes ! ♥️
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Lexie B. Hamertown

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MessageSujet: Re: "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?"   "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" EmptyMer 26 Mai - 19:31

[Désolé du double post, voilà la fin de ma fiche =s]


And now, I am what I am

Matthew. Matthew m'avait sauvé, ou du moins, il m'avait amené dans cet hôtel ou il habitait provisoirement il y a longtemps maintenant. Il m'avait recueilli et expliqué que je n'étais pas morte. La raison ? Apparement, j'avais bu, à mon insu, du sang de vampire. Il m'avait juré n'y être pour rien, mais je n'avais jamais voulu le croire. Oui, entre temps, j'avais aussi appris qu'il était lui même une de ces créatures qu'il avait plus tôt detesté. Pour me préserver, avait-il dit. J'avais du m'accomoder de ma nouvelle vie en tant que Vampire. J'avais au début eu du mal pour avaler la moindre goutte de sang qui aurait été fatale à mon humanité, mais cette odeur ... J'y avais vite succombée et de fil en aiguille, j'étais devenue sanguinaire.
Au fil des années, nous avions déménagés une bonne dizaine de fois. Nous profitions de la vie. Lui de son côté, moi du mien. Je le perdis de vu dans les années cinquante, après la deuxième guerre. J'étais seule et avançais en faisant cavalier seul. J'étais mieux comme ça je dois avouer, j'avais plus de liberté. Je faisais attention à ne pas trop laisser de corps derrière moi, pour ne pas trop alarmer la population américaine. J'avais fait toutes les grandes villes et pour l'an 2000, étais revenue ici. Je ne quitterais pas cette ville avant longtemps. D'autant que j'avais appris depuis peu que mon père était en vie ... Dans le même état que moi. J'avais cherché, deux ans. Mais rien, aucune trace. Son nom avait été effacé, comme le mien. D'Elizabeth Warrens, j'étais devenue Lexie Béatrice Hamertown. Je commencais une nouvelle vie désormais. Je décidais de profiter de cette immortalité presque totale.

2010 :
Je profitais de la vie. Tous les soirs, j'étais dans des clubs et me tapais de nouveaux mecs et ne les revoyais jamais. Je fumais cigarettes sur cigarettes, c'est pas ça qui me tuerait, et buvais du Whisky à volo. Ca non plus, ca le pourirra pas le foi. J'avais toujours l'image de Matthew dans l'esprit. 60 ans. Soixante ans qu'on ne s'était pas vu et pourtant ... J'avais besoin de ça, c'était vitale. Le sexe. C'était un carburant, comme le sang humain. D'ailleurs, je me priver pas de les goûter avant de m'enfuir, sans qu'ils se souvienent de moi.
Ce soir, je rentrais dans mon appartement. Celui que je louais il y a peu. J'avais les moyens de me l'offrir, mais je préférais ne pas avoir de logement permanent. Le moindre couac, et je partais sans rien devoir à personne. Ou presque. J'avais au moins un an de loyer déjà payé, j'étais tranquille. Ce soir pourtant, quelqu'un attendais devant ma porte, assis, la tête contre le mur. J'allumais la lumière du couloir. Ce n'était pas Matt, comme une partie de moi l'aurait voulue mais ... un inconnu. Il ouvrit les yeux et sursauta en me voyant.
"Désolé, j'ai euh ...j'ai dû me tromper d'appartement."
Je ne dis rien, une veine battait contre son cou, appétissante. Je la fixais l'espace d'une seconde avant de le fixer, lui. Un joint en trop cernait ses yeux, ses cheveux en bataille se dessinaient devant ses yeux. Il me détailla à son tour et là ... Quelque chose ressortit, quelque chose que j'avais trop longtemps caché. Mon humanité, une part du moins. Celle des sentiments. Techniquement parlant, je ne pouvais avoir de sentiments, enfin si, c'était purement psychologique, ca ne venait pas du coeur. C'était impossible de toute façon, étant donné qu'il ne battait plus.
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Cheyenne Z. Wilson

Cheyenne Z. Wilson


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MessageSujet: Re: "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?"   "Que peut-on faire quand le poison est déjà dans nos veines ?" EmptyMer 26 Mai - 21:11

Tout est parfait.
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